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La mémoire de nos ancêtres inscrite dans notre ADN
- Selon la science et la psychologie, nous sommes le fruit de nos ancêtres,
- Notre ADN intègre les évènements traumatisant/positif vécus par nos ancêtres,
- Les chercheurs en épigénétique confirment que les évènements marquant laissent des traces sur les brins d’ADN, visibles aux microscope,
- Nous portons donc des mémoires familiales qui font partie de notre programmation inconsciente,
- Tout ceci confirme ce que la psychogénéalogie, l’étude de l’héritage familial, avançait depuis longtemps.
- Le transgénérationnel est l’ensemble des mémoires qu’une personne porte et qui lui ont été transmises par son arbre généalogique (sur plusieurs générations parfois lointaines), en général ce qui est tenu secret, caché, non dit, non su, souvent un traumatisme ou un deuil non résolu, mais encore actif.
- Cette transmis d’inconscient à inconscient peut créer ce qu’on appelle un fantôme familial, à savoir que vous revivez la problématique ou la peur non-résolue d’une ancêtre, alors que tout ceci n’appartient pas à votre histoire individuelle et personnelle. Dans certains cas extrêmes de psychose, on dit même que la personne est comme « possédée » par un fantôme familial.
- Le but de la Psychogénéalogie énergétique® et libération transgénérationnelle est justement de se libérer des mémoires familiales.
Nous héritons des conflits intérieurs non-résolus de nos ancêtres
- Toute souffrance vécue dans la solitude et le silence (les non-dits) crée un conflit intérieur transmis aux générations suivantes,
- L’énergie de l’arbre généalogique est comme bloquée créant comme une sorte de bouchon ou nœud énergétique,
- Sur les plans physique et psychique, nous rencontrons des émotions, des ressentis, des situations difficiles qui proviennent de ces mémoires ancestrales,
- La bonne nouvelle est qu’il est possible de les libérer en travaillant sur son héritage transgénérationnel.
La loyauté familiale, qu’est-ce que c’est ?
La loyauté familiale est inconsciente. Dans l’inconscient, être différent, c’est prendre le risque d’être exclu du clan, de la famille. Ainsi, nous répétons des schémas, des comportements pour ressembler à nos ancêtres. Ces répétitions sont parfois subtiles ou bien visibles (la famille de métier par exemple).
Si mes ancêtres, mes parents, sont dépressifs, pourquoi aurais-je le droit au bonheur ? Toute la programmation familiale pèse sur moi. Inconsciemment, je veux rester loyal à mon « clan » même au prix d’un auto-sabotage
Toute une histoire…
Brève histoire de la thérapie transgénérationnelle
Notre réalité au quotidien est influencée par les conditionnements de notre passé.
Mais elle est également conditionnée par l’héritage du vécu et des actions de nos lignées familiales.
Au début du XXe siècle, Sigmund Freud amène la notion d’inconscient qu’il essaie déjà d’élargir au collectif. Il pressent une transmission d’une génération à l’autre.
C’est le psychiatre Carl Gustav Jung qui développe le premier le concept de l’inconscient collectif qui lance les débuts de la réflexion sur l’héritage inconscient au sein du cercle familial.
Plus tard, Jacob Lévi Moreno étudie le vecteur de la transmission transgénérationnelle.
Dans les années 1970, la psychanalyste Anne Ancelin Schützenberger invente le terme psychogénéalogie qui étudie la transmission transgénérationnelles pour y remédier.
Alejandro Jodorowsky a crée la métagénéalogie qui concilie l’étude psychologique de l’héritage familial et des approches plus énergétiques et spirituelles de la psychogénéalogie.
C’est l’approche que je propose à travers cette exploration transgénérationnelle sous hypnose.
Connaître sa famille pour devenir un soi autonome (Marianne Costa) :
« La famille (vivants et défunts) nous « sculpte » en nous imposant une série d’ordres et d’interdictions, qui se répètent et se transmettent de génération en génération. « Fais ceci, ne fais pas cela » « Telle chose est dangereuse » « le Bien est ceci, le Mal est cela », etc. Une part de cet héritage est conscient, mais la majeure partie de ces croyances, de ces blessures émotionnelles, ces hontes, ces frustrations, ces limitations abusives, reste inconscient pour la plupart des gens. Étudier son arbre permet de faire remonter plus d’informations à la surface et de commencer à faire le tri : qu’est-ce qui m’est vraiment utile dans tout cela ? Qu’est-ce qui m’aide à vivre, qu’est-ce qui va dans le sens de ma réalisation ? ». Ensuite le travail consiste à se débarrasser de ce qui nous freine et nous encombre (contrats, blocages, hontes, définitions de soi-même, etc) et à intégrer des informations positives manquantes (par exemple : qu’est-ce qu’une naissance vécue dans la félicité ? Qu’est-ce que le véritable amour paternel, maternel ? etc).